Vous avez des questions d'ordre général? Consultez notre section

Vous souhaitez entrer en contact avec un membre de l'Équipe? Consultez notre section

Commande rapide
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
Vous désirez commander plus de pièces ?

Si vous devez importer un grand nombre de pièces pour une commande, vous pouvez utiliser ce gabarit et le téléverser sur le site web. Vous devez y entrer une pièce par ligne et soyez certain de garder l'extension de fichier .CSV lorsque vous sauvegarderez votre travail.

Téléverser

Les taxis-drones volants s’en viennent (encore!)


Les taxis-drones volants s’en viennent (encore!)

Il se passe de quoi à faible altitude, ou en tout cas à une altitude moins élevée que les fusées de Honda et de SpaceX, et c’est en train de se passer un peu partout dans le monde : les opérateurs de taxis-drones volants continuent de développer leur technologie, et il y en a au moins une qui s’en vient probablement en 2028… qui se trouve au Japon.

Il s’agit du projet de taxi-drone de la société Skydrive, qui prévoit lancer dès 2028 un service de navettes volantes électriques qui pourra transporter sur une courte distance un ou deux passagers par voyage, à partir du centre-ville de Tokyo.

L’appareil qu’on a d’ailleurs presque pu essayer au Salon de la mobilité de Tokyo est un véhicule électrique à décollage vertical (« eVTOL », dans le jargon) conçu pour accueillir un pilote, en plus de ses deux passagers. Sa vitesse de pointe est de 100 km/h, et son autonomie est de 40 km. Ses 12 hélices assurent un vol doux et sûr. Le constructeur pense qu’un tel véhicule pourrait assurer à faible coût la navette entre des lieux précis, comme par exemple, l’aéroport et le centre-ville de Tokyo.

Ça fait des années qu’on en parle, de ces projets de taxis-drones électriques, et ça commence à se préciser. Il y a d’autres entreprises que Skydrive qui ont les mêmes ambitions. Par exemple, la société Joby, qui est généreusement appuyée par Toyota, prévoit mettre en service ses propres drones à Dubaï. La technologie est en train d’être certifiée par les Émirats arabes unis, et même si ça prend plus de temps que prévu, on a toujours espoir de lancer ça dans les airs là-bas quelque part autour de 2027.

Toyota n’est pas le seul constructeur d’automobiles à s’intéresser aux drones électriques. Hyundai a un prototype dans ses cartons, tout comme Honda, qui pense aussi lancer son propre service un jour.

Et plus récemment, soit en septembre dernier, GE Aviation, qui n’est quand même pas une startup née de la dernière neige, a annoncé un investissement de 300 millions $US dans les appareils électriques à décollage vertical de la société Beta Technologies.

La promesse de tout ce beau monde-là est la même : aider les gens qui en ont les moyens à contourner les bouchons de circulation, et par ricochet, aider à décongestionner les autoroutes autour des grandes villes.

On s’en reparle en 2028.

Articles similaires