Chevrolet Trailblazer 2008, Chevrolet trailblazer 2009

Chevrolet TrailBlazer/GMC Envoy/Buick Rainier/Oldsmobile Bravada (2008-2009)

LUC-OLIVIER CHAMBERLAND

En observant ce quatuor de GM, on réalise vite que l’industrie de l’automobile évolue rapidement. Il ne faut pas oublier que ces utilitaires d’une autre époque nous ont quittés il y a seulement quelques années.

Antithèse de la modernité, ils sont des produits désuets sur tous les plans. Leur style respectif a une identité propre, mais sous les panneaux, c’est habituellement du pareil au même. En plus de leurs composants, ils partagent le même degré de finition qui s’apparente à une tour en blocs Lego faite par un enfant de 3 ans.

Un des points positifs les concernant touche leur endurance et leur fiabilité. Presque indestructibles, ils durent dans le temps comme on traverse les âges. Toujours dans les avantages, on constate que l’espace intérieur est adéquat, mais on oublie l’idée d’une troisième rangée de sièges. Pour ce, il faut chercher les versions allongées du TrailBlazer (EXT) et de l’Envoy (XL) de GMC. Ce dernier a même été proposé avec un toit rétractable au-dessus de l’aire de chargement dans le modèle XUV.

Sous le capot, on retrouve un 6-cylindres en ligne ou un V8. Pour 2008, c’est un 6-cylindres de 4,2 litres de 291 chevaux. Il donne un bon rendement, mais pour les gros travaux, on suggère le V8 de 5,3 litres de 300 chevaux. Pour l’ultime année de production, on réduit la puissance du 6-cylindres à 285 chevaux, alors que le V8 passe à 6 litres et à 395 chevaux. Dans tous les cas, il faut savoir que la consommation est très élevée.

Malgré leur durabilité, il est préférable de les éviter. Leur manque endémique de raffinement et leur comportement routier ne sont pas à la hauteur.

Les données essentielles

Indice de fiabilité : 3/5

Valeur de revente : 2,5/5

À SURVEILLER

Composants électriques, assemblage et

finition, freins, carrosserie.

RAPPELS

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