MINI Cooper Clubman 2008

Mini Cooper/Clubman

Vincent Aubé

La MINI Cooper de première génération est arrivée en 2002 au pays. Elle sera remodelée légèrement en 2007, conservant ainsi sa bouille sympathique, mais offrant de nouvelles motorisations. Depuis son introduction, la gamme appartenant à BMW n’a cessé de s’agrandir avec notamment l’arrivée de la version décapotable en 2005 et de la Clubman en 2009. Qu’il s’agisse de la première mouture ou de la deuxième, une MINI demeure une MINI. Évidemment, la décapotable se reconnaît par son toit souple et la Clubman par sa longueur supérieure et son nombre de portières qui est de 5. À l’intérieur, le tableau de bord présente des formes arrondies. C’est très rétro et techno à la fois. À cause du côté luxueux de la voiture, la MINI est plutôt bien assemblée même si certains plastiques minces trouvent leur place dans l’habitacle. Bien entendu, l’espace n’est pas le point fort des MINI. Dans la Clubman, c’est tout de même un peu mieux, surtout au niveau du coffre. Pour ce qui est des motorisations, les premières éditions étaient équipées de 4-cylindres de 1,6 litre de 115 chevaux (Classic et Cooper), 163 chevaux (Cooper S) et 210 chevaux dans les bombes John Cooper Works, ces deux dernières étant aidées par un compresseur volumétrique. Après 2007, lors de la refonte, les mécaniques 4-cylindres développaient toujours 1,6 litre de cylindrée même si elles étaient entièrement revues. La puissance du modèle de base a grimpé à 120 chevaux, celle de la Cooper S à 175 chevaux et celle de la JCW, à 208 chevaux, avec désormais des turbocompresseurs pour les deux sportives. Malgré le plaisir que ces petites puces entraînent, il faut mentionner qu’une MINI est une voiture plus chère à entretenir que la moyenne, un point à considérer lors de l’achat.

Les données essentielles 

Fiabilité : 3,5/5

Valeur de revente : 4/5

Points à surveiller : boîte de vitesses, éléments de finition, composantes électriques, système de refroidissement

Rappels (1):

• boîte de vitesses à rapport continuellement variable (2006)