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Uber évalue à 1,6 milliard $ son impact économique au Québec en 2022


Uber évalue à 1,6 milliard $ son impact économique au Québec en 2022 An Uber driver's vehicle is seen after the company launched service, in Vancouver, Friday, Jan. 24, 2020. Ride-hailing companies Uber and Lyft say they are on the road in Metro Vancouver with limited service, less than a day after receiving long-awaited approval for an operating licence. THE CANADIAN PRESS/Darryl Dyck

Uber calcule à 1,6 milliard $ les revenus de ses chauffeurs et de ses livreurs, ainsi que les revenus additionnels générés grâce à son application par les commerçants et les restaurateurs partout au Québec en 2022. Elle conclut donc que sa présence au Québec est positive, ce qui est quand même un peu débattable.

Car pour plusieurs, Uber a encore beaucoup à se faire pardonner. Le service de taxi par application mobile incarne un modèle économique qu’on a appelé «l’économie des petites jobines» ces 10 dernières années, où les gens doivent accumuler des petits boulots très précaires et pas très payants pour subvenir à leurs besoins. Puis, durant la pandémie, le service de livraison de repas Uber Eats a été pointé du doigt pour ses frais élevés imposés aux restaurateurs, qui refilaient la facture aux clients, qui finissaient par trouver tout ça trop cher.

Alors, pour redorer un peu son blason, Uber a publié plus tôt cette semaine un rapport détaillant ce que le service californien estime être son impact économique au Québec. L’entreprise dit avoir observé un regain de popularité en 2022, notamment du côté du nombre de chauffeurs et de livreurs qui utilisaient sa plateforme, notamment en raison de la hausse du coût de la vie provoquée par l’inflation élevée qu’on connaît depuis environ un an.

D’ailleurs, Uber est dans la grande majorité des cas un deuxième emploi. 66 % des chauffeurs disent utiliser Uber pour faire des revenus supplémentaires, la plupart ayant déjà un véritable boulot plus payant que ce qu’ils tirent en offrant leurs services sur Uber.

Cela dit, Uber estime que les restaurateurs ont empoché 201 millions $ en revenus de plus que ce qu’ils auraient empoché sans utiliser Uber Eats. Des épiciers aussi en profitent, puisque la moitié des utilisateurs d’Uber Eats se sont aussi fait livrer des articles d’épicerie à au moins une reprise en 2022.

Enfin, du côté du transport de personnes, Uber continue son virage électrique. Le service promet que tous ses chauffeurs auront des véhicules électriques au plus tard en 2030. On dit que les Québécois sont avec les gens de Colombie-Britannique les Canadiens plus susceptibles de payer un peu plus pour se déplacer à bord d’un taxi électrique, ce qui est une bonne nouvelle pour Uber.

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