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Un accord timide sur l’élimination de véhicules à essence neufs d’ici 2035 à la COP26


Un accord timide sur l’élimination de véhicules à essence neufs d’ici 2035 à la COP26

Certains constructeurs automobiles et certains pays se sont engagés à ne vendre que des  voitures neuves sans émission sur les principaux marchés d’ici 2035 ou avant. Le problème tient au fait que seulement une partie des pays présents se sont engagés. La Chine et la Russie qui sont absentes au sommet de Glasgow ainsi que les États-Unis, le Japon, la France ou l’Allemagne ont refusé de signer l’entente. Même chose chez les constructeurs automobiles. Ford, General Motors, Mercedes-Benz et Volvo ont signé. Toutefois,  Toyota, Volkswagen, Stellantis, Renault-Nissan et Hyundai-Kia ont refusé de signer.

Renouveler un engagement

Les pays et les constructeurs qui ont signé l’accord avaient déjà publiquement annoncé cette démarche auparavant et comme le Canada n’ont fait que renouveler une promesse qu’ils avaient déjà faite. On ne peut donc dire qu’il s’agit d’une grande nouvelle. C’est un engagement assez timide. À l’exception de Toyota qui a déclaré que ses activités mondiales rendraient « difficile » le respect de l’engagement pour 2035, les autres constructeurs automobiles qui n’ont pas signé l’entente n’ont pas expliqué pourquoi.

Cela ne s’annonce pas bien, puisque les deux plus grands constructeurs automobiles ont refusé de s’engager dans la transition électrique.

Parmi les autres raisons qui ont poussé ces entreprises à rester en dehors de l’engagement figurent probablement les coûts élevés liés à l’accélération du développement des véhicules électriques et le désir de ne pas s’enfermer dans un accord qu’elles pourraient être incapables de respecter.

Cette décision ne gagnera pas les faveurs des écologistes, en particulier celles de Toyota, qui a récemment été désignée comme la troisième entreprise faisant le plus obstacle au changement climatique, juste derrière ExxonMobil et Chevron.

 

 

 

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