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Les États-Unis publient une stratégie pour décarboniser le transport d’ici 2050


Les États-Unis publient une stratégie pour décarboniser le transport d’ici 2050 Une fin de journée à Los Angeles

Le président américain Joe Biden a publié mardi son plan de match pour rendre le secteur américain du transport entièrement carboneutre – ou presque – d’ici 2050. Les États-Unis sont dans la même situation que le Québec : la plus grosse partie de leurs émissions de gaz à effet de serre provient du transport, qu’on parle des automobiles ou des véhicules lourds, des camions, des bateaux ou des avions.

Il y a dans ce plan une bonne nouvelle pour le Québec : la volonté de la province de s’insérer dans la chaîne d’approvisionnement des batteries pour véhicules électriques pourrait s’avérer très payante au cours des 25 prochaines années. Car Washington a bien l’intention de miser sur le transport électrique pour atteindre ses propres objectifs climatiques.

Déjà, la vente de véhicules légers neufs aux États-Unis devra être entièrement électrique, ou en tout cas, «à zéro émission», quelque part entre 2030 et 2040. On mise beaucoup sur les véhicules assemblés en Amérique du Nord pour y arriver. Aussi : on anticipe que les États-Unis devront multiplier par quatre leur investissement dans l’infrastructure de recharge publique, pour soutenir la demande croissante que ce virage va engendrer.

Mais surtout : Washington souhaite aussi électrifier le transport commercial, et cherche des solutions pour rendre les bateaux et les avions eux aussi carboneutres. Dans les deux cas, on regarde notamment du côté de l’hydrogène, plus spécifiquement du côté de l’hydrogène vert produit à partir de sources renouvelables, comme l’eau et l’hydroélectricité, deux ressources que le Québec possède en bonne quantité.

Dans l’ensemble, la stratégie américaine n’est pas vraiment plus ambitieuse que les cibles qu’on souhaiterait atteindre au Canada également d’ici 2040 et 2050. Évidemment, encore faut-il atteindre ces cibles, chose qui, au Canada à tout le moins, n’a jamais été fait.

Mais au moins, il faut reconnaître que la stratégie américaine va dans le même sens que les stratégies canadienne et québécoise, ce qui est là encore une assez bonne nouvelle, étant donné que tout le monde va pousser dans la même direction. Espérons seulement que le virage se fera à temps pour éviter le pire des changements climatiques à venir…

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